Selon lui le dernier cas de décès par noyade « s’est passé sous nos yeux mais lorsque nous avons constaté la victime se débattre au loin, nous pensions qu’il blaguait avec ses co-vacanciers puis qu’il avait fait cela plus d’une fois lors de cette baignade », Ida d’ajouter « lorsque nous sommes arrivés à la sortir de l’eau il était déjà mort. Et nous avons longtemps attendu avant l’arrivée des sapeurs pompiers ».
Ce drame vécu dimanche dernier est le énième après le décès d’un vacancier trois jour au paravent aux larges des côtés de Miname. Dans l’entre deux semaines, quatre autres cas de noyade ont été notés mais fort heureusement pour ses victimes, il y a eu plus de peur que mal, tous ont été sauvés par des maîtres-nageurs officieusement en activité.
Car comme l’a confirmé Ida il n’y a pas de surveillant de baignade à Bargny ou Sendou commune pour veiller sur les vacanciers, dont la plus part viennent d’ailleurs. Pour ce qui concerne leur cas, les maîtres nageurs bien que formés à Bargny sous l’ère Mar Diouf; sont restés en chômage, conséquence, les plages de Bargny sont dépourvues de surveillance rendant probables les cas de noyades.
Rien que le jour de la pose de la pierre du futur quai de Bargny, un enfant a été mort noyé à l’insu de tous. Des situations dramatiques qui peuvent encore éviter si les plages sont pourvues de surveillants de baignade ou alors que ceux qui sont déjà formés et certifié par les sapeurs pompiers lors d’une session officielle sous la recommandation de Mar Diouf. Jusque là ces derniers sont en chômage technique pendant que des cas de décès par noyade subsistent dans des communes lébou comme Bargny et Sendou.
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