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http://yveslebelge.skynetblogs.be/archive/2006/10/12/hommage-a-la-femme-noire.html Femme Noir et Femme Blanche |
Sont-elles vraiment impliquées dans le combat pour la cause de la femmes? Elles ce sont les autres femmes celles qui sont aux labeurs dans l'informel.
Ce sont ces braves dames vouées à la tâches quotidiennes, ces ignorantes ignorées, enclin dans l'infortune et la besogne, ces pauvres femmes du bourg. Chaque jour elles sont nombreuses à chercher le pain quotidien, pour nourir souvent une famille nombreuse, à affronter les menaces de la rue truffée d'agresseurs tellement elles sont matinales pour rendre à la plage, au marché, et dans d'autres lieux de travaille. Elles sont comme Fatou Faye cettr dame qui pendant quarante cinq a porté sa bassine d'eau objet de son commerce pour ne pas tendre la main et assurer la dépense familiale journalière. Elles sont à l'imge de Astou Ngom ou Fatou Seck femmes tranformatrice et mareyeuse respectivement à Ndéppé Rufisque et à Ngadjé Bargny.
Ces dames qui sont peu informées ou sont loins des intances de décision, des lieux d'échanges, sans avis ni consultance, sans implications ni intéressement. Trouvées sur leur lieux de travail, elles se plaignent de cet indifféérence leurs compatriotes qui constituent l'élite féminine. Celles qui en savent plus, qui font les beaux jours de la cause de la femme, empressées d'aller de séminiaires en séminaires de forum en atelier, sans restitution. Celles qui maîtrisent la Parité, le Genre, qui contestent les violences faites aux femmes, qui dénigrent la condition des femmes rurales, qui plaident la décheances de la femme dans les instances politiques ou qui font elles mêmes l'action politique. Ces dames aux grands airs qui sont très aux faits des choses manquent souvent de tact pour restituer l'information, ou de façon exprès tiennent un autre discours aux autres de rang inférieurs, dans un langage souvent désuettes ou trop prolixe, très techniques et sans ingtérêts pour celles à qui c'est destiné encore moins être compris par celles-ci.

Les femmes intellectuelles, celles de l'administration, des ONG de la société civiles, des grandes instances internationales, des GPF, des OCB, ces professionnelles des institutions qui savent autant que les hommes comment actionner des lobbies et des levier pour arriver à leurs fin; ces femmes là, le gros du temps, sont comme les hommes à qui elles se mesurent avec entrain à force de vouloir leur ressembler. Elles sont capables ou habilitées à réflèchir pour les autres, sur des projets de développement des idéologies partisanes souvent vues comme du féministes, mais elles reviennent, comme les borgnes aux pays des aveugles, dominer, exploiter et manipuler les autres, les analphabètes. Un proverbe dit pourtant: " Tout ce que tu fait pour moi et que tu fait sans moi, tu le fait sans moi." Voilà le problème tel qu'il est posé: Les femmes de la gueuserie sans telles dans le combat mené par les bourgeoises intellectuelles et activistes pour la condition de la femme. La femme, épouse, fille soeur ou mère mérite une journée mais ne mérite-t-elle pas plus qu'un regard? Elles doivent toutes être impliquées dans leur propre combat au risque qu'il soit dévoyée et perdre tout intérêt.

Mouss Jaraaf.
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