Coup de colère des ex-balayeuses de Bargny, elles réclament quatre mois d'arrièrés de salaires au Maire depuis 2009

Hôtel de ville de Bargny 
Les femmes techniciennes de surface, ex-employées de l'EGTCOR,chragé du nettoiement des rues et dépotoires d'ordure de Bargny sont très en colère contre le Maire de la commune et son équipe. Elles cours derrière quatre mois d'arrièrées de salaire depuis quatre ans, mais en vain. Ces pauvres braves dames non perçu que la modique somme de 10 000 Frs sur les 80 000 Frs que leur doivent leurs employeurs.
Et le pire décrient-elles c'est le snobisme dont font usage Assane Diouf le secrétaire général de la municipalité et Moustapha Diouf le bosse de l'EGTCOR se renvoyant à leur guise ces travailleuses sans aucune considération. Elles ont même étaient éconduites par les squateurs et ouiailles du maire qui prennent aveuglément son parti devant la complainte des populations venues simplement réclamer leur dû. Ce mardi elles se sont également rendues à la mairie pour avoir enfin un interlocuteur au nom du maire pour entrer dans leurs fonds et une foi de plus c'est peine perdue. Pour taper fort la cinquantaine de femme interpellent les autorités départementales par voie de presse. Elles nous ont alors confié qu'elles exigent le paiement de leurs arrièrés de salaires et elles sont prêtes à tout pour se faire entendre. Déjà elles ont été renvoyées par Assane Diouf le SG de la mairie et Moustapha Diouf le patron du sous traitant EGTCOR; chacun laisant croire à ces dames que c'est l'autre qui doit payer ces redevances salariales. En attendant ces dames interpelles le président Macky Sall  qui pourtant  prone la création de 30 000 emplois avant la fin de l'année et toute autre personnaliité habilitée à les aider à retrouver leur paie. En attendant elles cogitent sur la suite à donner à leur stratégie de revendication. Et elles ne sont pas les seules à réclamer des sous à Mar Diouf car les employés municipaux aussi ont du même trainer le maire devant  l'inspection du travail pour lui réclamer quatre mois d'arrièrés de salaire il y a juste un mois. Une situation que la mairie justifie par le manque de sous pour les derniers et une rupture du contrat de prestation de service pour le contractuel EGTCOR.
Mouss Jaraaf







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