Les cabannots des plages, des niches du "sexe-business"


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   Le sexe est de nos jours la chose la mieux partagée dans les sites d'herbergement ou stations balnéaires comme les motels, les auberges, les nigth-club ou restaurant-bars réputés ou impopulaires. C'est un secret de polichinelles que de dire que ces endroits sont des gites pour  le business de la mondanité où le proxénétisme fait fureur.Contre toute attente, le département de Rufisque fait parti de ces endroits qui engragent un grand nombre de sites du sexe et dans la clandestinité, à côté des bars ou petits motels à deux sous officiellement reconnus dans l'espace hôtellier.

Mais le pire se trouve ailleurs comme dans les cabannots, longeant le long des plages comme celles de Sendou, Miname, Toubab Dialaw, Lac Rose Cap des Biches entre autre. Sensé être des proprités de quelques privilégiés comme les touristes occidentaux, qui avaient de coutume érigé ces cabannes pour se reposer le temps de leurs vacances ou séjours au Sénégal. Malencontreusement l'avancée de la mer a pris beaucoup de place sur l'espace géographique dans des localités comme Miname et Sendou, détruisant presque une bonne partie de ces villas en bordure de mer.

Certains ont alors  abandonné ces lieux et pour les laisser  au profit des gardiens de ces maisonnettes de campagne balnéaires, qui avaient tout ou presque d'un vrai site d'hébergement. Une vraie aubène pour ces vigiles ou gardiens qui ont établi la plus part des niches du sexe et lieux du rancard. Les maivaises langues laissent entendre que même des couples opportunistes entre maris et femmes d'autrui prennent langue avec ces courtiers de nids d'amour, pour se retrouver sur place, crayant être loin de tous souçons. Mais c'est sans compter avec les langues fourchues qui avoisinent les environs et qui n'hésite pas de décrier ces attitudes incongrues qui dérangent les populations locales entre Sendou et Miname.
Pas plus tard que ce week-end une complainte est émise par certains qui ont été outrés par ces agissements faisant état de jeunes filles qui élues domicile dans ces maisonnettes sur la plage et qui font de la prostitution clandestine à de vil et bas prix, variant d'ailleurs entre 1000 et 5000 F FCA. Ces demoiselles, dans leur sexe-business sont souvent des filles de joie qui habitent  le département  ou des fois viennent d'ailleurs. Leur commerce du sexe est facilité par ceux qui gèrent ces cabannots dit-on et qui louent ces chambres entre 5000 et 10000 F FCA et cela dépend de la nuitée ou la journée que l'on désire passer entre quatre murs.





Et nous sommes pas encore au bout de nos peines, nos sources révèlent que des groupes de "Drianké" proxénettes à tendance lesbiennes" aussi sont dans la danse. C'est un réseau de femmes mariées ou pas, qui interpellent de jeunes filles intêressées par ce business, avec de belles rondeurs au goût des prétendantes et clientes, qui y est établis pour les mettre à la disposition d'une clientèle femmes riches et en couple ou célibataire, mais qui nourri le désires sexuels contre nature. Ces adeptes opèrent nuitemment et à des moments choisis durant le mois ou la semaine. C'est pourquoi le réseeau est difficile à maitriser nous confie notre confident. Un tableau sombre pour une localité paisiblement reconnue par la valeur de ses habitants qui sont infiltrés par des étrangers indésirables ou des fils indignes.

Il s'y ajoute un réseau d'homosexuels moins organisé mais qui également prend parti dans ce hub du sexe-business. Là également ce sont des jeunes et adultes désoeuvrés dans le besoin qui y sont conduits et qui viennent souvent sur place pour profiter des passes de nuit et satisfaire leur lubido. La situation est décriée par les riverains qui espère un rasia de la police pour dénicher tous ces intrus, qui risquent de pourir leurs quartiers surtout avec tous les risques de grand banditisme et maladie que ce phénomène pourrait engendrer, s'il prenait de l'ampleur et si l'on y prend garde.
Mouss Jaraaf

Commentaires

  1. Merci pour l'article mon frére. Mais qu'attend donc la police pour faire des descentes sur ce lieu et le néttoyer! A moins que les populations locales s'en chargent!

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