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Pendant son séjour, qui se poursuivra jusqu’au 24 mai, M. Wormser rencontrera des représentants du gouvernement et des sociétés privées des deux pays, pour souligner l’importance des investissements étrangers directs (IED) comme moteur de croissance et d’emploi, indique un communiqué reçu du bureau de la BM à Dakar.Le directeur des opérations de la MIGA expliquera aussi comment les instruments d’atténuation des risques que propose cette institution peuvent favoriser les IED, selon la même source.
Au Sénégal, les garanties apportées par la MIGA appuient l’expansion du port de Dakar, selon le communiqué, qui indique que cette agence de la BM ‘’soutient également un accord innovant de swap de devises en dollars’’ dans le pays.
‘’Le produit des obligations émises dans le cadre de cette opération est utilisé pour financer de nouvelles infrastructures, dont la prolongation de la route à péage desservant le nouvel aéroport international et des investissements clés dans le secteur de l’énergie’’, rapporte la même source.
Elle explique que ‘’la MIGA contribue également à des projets de plus petite envergure dans le secteur des services’’ au Sénégal et ‘’assure contre le risque politique des investissements sénégalais dans le secteur des télécommunications en Guinée, en Guinée-Bissau et au Mali’’.
‘’Nous ne considérons pas les investissements étrangers directs comme une fin en soi, mais comme un moyen important de stimuler la croissance et de créer des emplois au profit de la population’’, déclare M. Michel Wormser, cité dans le texte.
La MIGA a été créée en 1988 et prétend ‘’promouvoir l’investissement direct étranger dans les économies des pays émergents pour y favoriser la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer l’existence des populations’’.
‘’Le produit des obligations émises dans le cadre de cette opération est utilisé pour financer de nouvelles infrastructures, dont la prolongation de la route à péage desservant le nouvel aéroport international et des investissements clés dans le secteur de l’énergie’’, rapporte la même source.
Elle explique que ‘’la MIGA contribue également à des projets de plus petite envergure dans le secteur des services’’ au Sénégal et ‘’assure contre le risque politique des investissements sénégalais dans le secteur des télécommunications en Guinée, en Guinée-Bissau et au Mali’’.
‘’Nous ne considérons pas les investissements étrangers directs comme une fin en soi, mais comme un moyen important de stimuler la croissance et de créer des emplois au profit de la population’’, déclare M. Michel Wormser, cité dans le texte.
La MIGA a été créée en 1988 et prétend ‘’promouvoir l’investissement direct étranger dans les économies des pays émergents pour y favoriser la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer l’existence des populations’’.
Source Aps.sn
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