Hostilité des populations à la délégation spéciale, une balle tue Malick Ba dans les violents affrontements entre populations et forces de l'ordre
Lundi noir et jour de deuil à Sangalcam; ce que beaucoup craignait est arrivé ce matin du 30 mai 2011 troisième jour de l'installation de la délégation spéciale de Sangalcam qui a fait sa première victime. Cela fait suite aux violents affrontements survenus ce matin entre les pandores et les populations hostiles à ce projet de communalisation tous azimuthe des localités foncièrement bien fournies et gérées par la coalition politique de l'opposition Benno Siggil Sénégal. Lors de ces heurts un jeune homme d'une trentaine d'année répondant au nom de Malick Bâ, maçon de son état marié père de jumeaux, a reçu un balle dans la mêlée et décède sur le coup. Un drame qui a suscité du coup de vives réactions populaires qui faillirent dégénérées.
Les populations témoins des faits ont caillassé les forces de l'ordre qui ont répliqué avec des jets de grenades lacrymogènes, une véritable Intifada, révélatrice de la tension qui sévit dans cette nouvelle collectivité locale ciblée par l'État en raison des hectares de terres habitables disponibles sur place.La même situation sévit à Mbane où le PCR et ses alliés du BSS ont observé une diète qui obligé le ministre Alioune Sow a retenir pour on ne sait quand l'installation de la délégation spéciale sur cette contrée victime du saucissonnage libérale . Les populations très remontées contre l'État réclament justice et demandent la démission du ministre de la décentralisation Alioune Sow ainsi que celle du sous préfet Ibou Diop très honni et indexé par habitants de terroir dans sa complicité avérée avec le pouvoir libéral qu'il incarne avec subjectivité. En atteste la réaction de Omar Guèye le PCR de l'ex communauté rurale de Sangalcam où en moins de dix ans l'État a installé des délégations spéciales, sous le magistère de O Guèye , au gré de ses mandants, qui lui ont toujours fait confiance. Ce proche de Idrissa Seck ancien premier ministre, ancien numéro II de Abdoulaye Wade le président sénégalais le secrétaire général du Pds, était absent lors des faits,mais informé il s'est dépêché accompagné de Omar Sarr un des bras droit de son mentor. Tous ont condamné ce crime , impliquant la responsabilité de l'État du Sénégal. Ils comptent poursuivre cette affaire jugée criminelle. Malgré le refus des populations de céder le corps de le victime au forces de l'ordre pendant plus trois heures de temps, les sapeurs pompiers ont finalement acheminé sa dépouille pour l'autopsie.
En attendant le rapport du légiste, la famille de la victime est plongée dans une profonde consternation et s'indigne. Elle compte sur les autorités judiciaires pour que justice soit rendue sur cette nouvelle bavure qui rappelle la mort de l'étudiant Balla Gaye atteint d'une balle en janvier 2001 lors d'affrontements violents entre forces de l'ordre et étudiants à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar; crime jamais élucidé, alors qu'un certain policier Thiandéla Fall était la seule piste, affaire toujours sans suite. Sommé de démission par les populations et l'opposition , a refusé toute idée de démission avant révéler que'il sais le faire et qu'il le fera une fois que cela sera nécessaire.
Les populations témoins des faits ont caillassé les forces de l'ordre qui ont répliqué avec des jets de grenades lacrymogènes, une véritable Intifada, révélatrice de la tension qui sévit dans cette nouvelle collectivité locale ciblée par l'État en raison des hectares de terres habitables disponibles sur place.La même situation sévit à Mbane où le PCR et ses alliés du BSS ont observé une diète qui obligé le ministre Alioune Sow a retenir pour on ne sait quand l'installation de la délégation spéciale sur cette contrée victime du saucissonnage libérale . Les populations très remontées contre l'État réclament justice et demandent la démission du ministre de la décentralisation Alioune Sow ainsi que celle du sous préfet Ibou Diop très honni et indexé par habitants de terroir dans sa complicité avérée avec le pouvoir libéral qu'il incarne avec subjectivité. En atteste la réaction de Omar Guèye le PCR de l'ex communauté rurale de Sangalcam où en moins de dix ans l'État a installé des délégations spéciales, sous le magistère de O Guèye , au gré de ses mandants, qui lui ont toujours fait confiance. Ce proche de Idrissa Seck ancien premier ministre, ancien numéro II de Abdoulaye Wade le président sénégalais le secrétaire général du Pds, était absent lors des faits,mais informé il s'est dépêché accompagné de Omar Sarr un des bras droit de son mentor. Tous ont condamné ce crime , impliquant la responsabilité de l'État du Sénégal. Ils comptent poursuivre cette affaire jugée criminelle. Malgré le refus des populations de céder le corps de le victime au forces de l'ordre pendant plus trois heures de temps, les sapeurs pompiers ont finalement acheminé sa dépouille pour l'autopsie.
En attendant le rapport du légiste, la famille de la victime est plongée dans une profonde consternation et s'indigne. Elle compte sur les autorités judiciaires pour que justice soit rendue sur cette nouvelle bavure qui rappelle la mort de l'étudiant Balla Gaye atteint d'une balle en janvier 2001 lors d'affrontements violents entre forces de l'ordre et étudiants à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar; crime jamais élucidé, alors qu'un certain policier Thiandéla Fall était la seule piste, affaire toujours sans suite. Sommé de démission par les populations et l'opposition , a refusé toute idée de démission avant révéler que'il sais le faire et qu'il le fera une fois que cela sera nécessaire.
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